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51- Sauf le monde

Quels sont les imaginaires et les motivations que l’écologie draine avec elle en termes d’idéal, d’utopie et d’espérance ? Au fond, qu’est-ce que nous voulons sauver en faisant la promotion de l’écologie ? Il se peut que ce soit pour sauver une espèce en voie de disparition, pour préserver un écosystème ou pour adopter une nouvelle hygiène de vie. Il est possible encore que ce soit pour découvrir les vertus de la simplicité, sans les affres des exigences de la société de consommation. L’écologie pourrait être aussi promue comme un facteur de progrès technique, une opportunité pour l’économie de gagner en efficacité sur fond de développement durable et d’une meilleure gestion des ressources. Il s’agit ici de déployer une part de ces imaginaires souvent inexprimés, ou sous- jacent à l’écologie, sous l’égide de ce que nous souhaitons à la fois sauver et promouvoir. 
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50- Accompagner la souffrance

Pourrions-nous mettre du souffle au cœur de la souffrance ? Un souffle pour qui cherche à rendre la souffrance supportable en attendant qu’elle soit éradiquée. Un souffle pour qui lutte contre la souffrance, contre toutes les souffrances, biologiques, psycho-sociales ou spirituelles. Un souffle pour qui dénonce les causes de la souffrance. Un souffle qui, tout simplement, accompagne celles et ceux qui souffrent.
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49- Le sport, ma foi

Église – stade, religion – club : existe-t-il des liens entre le sport et la religion ? Quels peuvent-ils être et dans quelle mesure ces deux phénomènes se recoupent-ils ? Qu’est-ce que cela indique d’une certaine compréhension de l’humain ? Y a-t-il des aspects religieux dans le sport ? Ces questions occupent depuis plus d’une année le groupe de recherche sur l’aumônerie en milieu sportif rattaché à la chaire de théologie pratique de l’Université de Lausanne.
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48 – Ce qu’il reste à croire

Il  y  a  souvent  quelqu’un,  quelque  part,  qui  croit.  Il  y  a,  encore  plus  souvent,  quelqu’un,  quelque  part,  qui  ne  croit  pas.  Mais  au  final,  il  y  a  toujours  quelqu’un  qui  croit  plus  que  moi,  ou  moins  que  moi.  C’est  ce  deuxième  cas  qui  nous  intéresse  ici,  dans  la  distance  face  à  toute  croyance,  surtout  révélée,  dans  le  contexte  occidental  et  chrétien.  Que  reste-t-il  du  croire  malgré  tout,  et  comment  le  vivre  lorsque  la  référence  à  Dieu  s’estompe ?  Il  existe  des  cultes  sans  Dieu  en  Angleterre  et  des  athéismes  heureux,  ou  encore  des  chercheurs  de  sens  qui  ne  gardent  que  le  meilleur  des  traditions.  Il  y  a aussi  ces  croyants  discrets  qui  découvrent  la  richesse  et  la  profondeur  des  questions  posées  par  l’incroyance.
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